Digestion des émotions

 

 

Circuit des énergies émotionnelles

Les émotions d’origine extérieure arrivent au niveau du sternum (thymus, cœur). Leur énergie circule pour être « digérée » et transformée.
Elle traverse le diaphragme pour aller vers le ventre qui les digère au même titre que la nourriture. [En pratique, imaginer une machine à laver rotative qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre : ça monte à droite et ça descend à gauche].
Puis elle remonte du coccyx au sommet de la tête par la colonne vertébrale.
Elle sort au sommet du crâne pour se transformer en une « énergie douce » qui enveloppe tout le corps de haut en bas en extérieur.
Chaque élément de ce « voyage » doit être « libre ».

Un blocage se manifeste par tension et douleur. Il est utile que tout soit mobile.

 

» Mise en place :


Soigné allongé sur le dos :
Le soignant, ayant posé ses mains (sur le sternum, par exemple) peut suivre ce trajet par la pensée et intervenir sur les endroits où ça « bloque », soit par la pensée, soit en demandant au soigné d’y placer sa main, sa pensée ou sa respiration, soit en y plaçant une main lui-même le temps de remettre de la mobilité (présence, lemniscate,…). Il peut aussi remettre en mouvement directement un os ou un endroit de difficulté.

Autre position possible :
Soigné allongé sur le côté (lui laisser choisir son côté), un petit coussin sous la tête, les jambes pliées, soignant en arrière du soigné, une main sur le ventre, une main à la base du crâne, en haut du cou. Même procédure).

 

 

» Émotionnel :

NB :
Les mémoires émotionnelles ont une localisation variable selon la personne et son histoire.
Les membres inférieurs parlent de chemin de vie, les membres supérieurs de « donner-recevoir » etc…
Elles sont stockées sous forme de tension ou blocage.
Les mémoires peuvent se réactiver en présence d’un élément extérieur qui provoque une résonance, moyen qui permet une prise de conscience et, éventuellement, une libération de ces mémoires.



Libérer une « tension-mémoire » ne se fait qu’à condition que le sujet soit « prêt » à perdre cette part d’ « identité ».
Cette libération permet à nouveau les circulations de fluides et d’énergies dans le corps et favorise le mouvement de vie. L’aide apportée n’est donc que cela ! Aider la vie à circuler à l’intérieur ! Nous serions alors des « agitateurs ».

 

 

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